Quels impacts la crise sanitaire, que nous avons traversée et dont nous commençons tout juste à sortir, a-t-elle eu sur la vente de vos produits ?
Christian Delavaux : Dans l’ensemble, nos ventes ont reculé de 18 % en volume sur la période. Cependant, nous avons la chance d’avoir des marchés très diversifiés, ce qui a sûrement permis de limiter l’impact de l’arrêt brutal des ventes en restauration hors domicile (RHD). Il faut rappeler que Lunor, en tant que filiale de la coopérative NatUp, transforme des légumes cultivés très majoritairement par les adhérents de la coopérative, en Normandie. Nous cherchons donc à valoriser tous les légumes qui sortent des champs, donc tous les calibres. Les petits sont essentiellement valorisés dans des produits vendus en GMS (sous marque Lunor ou sous MDD), à l’export avec des marchés significatifs…
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