Des avis de TC mitigés

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Dans le cadre d’une baisse potentielle des doses de produits phytosanitaires, les agriculteurs comptent avant tout sur les outils de pilotage, un peu moins sur les solutions  de régénération des sols et encore moins sur les solutions de biocontrôle. © O. Lévèque/Pixel image
L’EA Tecomah a mené une enquête auprès de 70 technico-commerciaux de la distribution agricole sur leur perception et celle des agriculteurs vis à vis des certificats d’économie de produits phytosanitaires. Les résultats montrent des avis partagés pour près de la moitié des technico interrogés, qui y voient autant de menaces que d’opportunités. La perception des agriculteurs vis-à-vis de ce dispositif est également mitigée.

Dans les perspectives du plan Écophyto, les nouvelles pratiques conduisent tendanciellement à diminuer les doses des produits phytosanitaires, sachant que la réduction de 50 % de de la consommation de pesticides est reportée de 2018 à 2025. L’enjeu économique pour les distributeurs et leurs technico-commerciaux est de trouver des relais de croissance grâce à des nouveaux produits et services, de fidéliser l’agriculteur sur des solutions innovantes et robustes. C’est dans ce contexte que l’EA Tecomah1 a enquêté auprès de technico-commerciaux de la distribution agricole sur leur perception et celle des agriculteurs vis-à-vis des CEPP. 70 personnes ont été interrogées en janvier 2017, les interviewés de l’échantillon se répartissant entre technico des coopératives…
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