Le fluvial, une alternative parfois stratégique

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Le terminal fluvial de Montereau-Fault-Yonne représente un investissement de 4,5  millions d’euros cofinancé par les deux coopératives Axéréal et Cavap, aujourd’hui  fusionnées. © S. seysen/pixel image
Les régions situées au Centre et à l’Est du territoire ont un défi majeur pour être compétitives à l’export : organiser au mieux le transfert des grains vers les ports. Quand il est possible, l’accès au fluvial permet de bénéficier d’un mode de transport complémentaire et avantageux. Plusieurs investissements récents ont eu pour objectif d’augmenter les volumes transportés par péniche.


Laurent Vittoz, directeur de Cérévia. © Cérévia 


« L’accès aux ports est essentiel pour désenclaver nos régions », explique Laurent Vittoz, directeur de Cérévia. Cette structure commercialise la collecte de sept coopératives de Bourgogne, Franche-Comté et Rhône-Alpes (Dijon céréales, Seine Yonne, Bourgogne du sud, Terre d’alliances, Terre comtoise, La Dauphinoise et Cerepy), soit au total 3,3 millions de tonnes de céréales et oléoprotéagineux. La moitié de ces volumes sont exportés. Si cette zone de collecte a l’inconvénient d’être éloignée des ports, elle a en revanche l’avantage d’être « pénichable » via la Saône et le Rhône. Par ailleurs, quatre des sept coopératives disposent d’une dizaine de silos avec accès fluvial : Dijon céréales, Bourgogne du sud, La Dauphinoise et Terre d’alliances.…
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