Moissons : recruter devient de plus en plus difficile

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Bresson embauche chaque année une trentaine de personnes sur les silos et une dizaine de chauffeurs pour les camions en vue de la moisson. Photo : Bresson SAS
Chez Bresson en Côte-d’Or, les moissons ont commencé, mais les recrutements de saisonniers ne sont pas terminés.

En Bourgogne, les moissons ont commencé. Chez Bresson, les premières bennes d’escourgeon brassicole ont été apportées aux silos le 13 juin. « Les protéines sont satisfaisantes, le PS assez faible, le calibrage semble en dessous de ce que l’on attendait, mais il ne s’agit que des premières bennes, pour le rendement, il est encore trop tôt pour se prononcer », signale Damien Racle, responsable collecte.

Pourtant, les recrutements pour les saisonniers en vue des moissons 2022 ne sont pas terminés. « Recruter des saisonniers – mais aussi des permanents – devient de plus en plus difficile », regrette Agnès Hué, responsable RH des Ets Bresson depuis 8 ans. Le négoce, basé à Saulon-la-Chapelle à une quinzaine de kilomètres au sud de l’agglomération dijonnaise, compte 37 salariés permanents et embauche chaque année en emploi de saisonnier ou en CDD une trentaine de personnes sur les silos et une dizaine de chauffeurs pour les camions en vue de la moisson.

Exergue n°429882
« Cette année, le recrutement est encore plus difficile que les années passées.…
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