Ces trichogrammes tombés du ciel

Article réservé aux abonnés

Avec une autonomie en énergie et en capsules d’environ 10 hectares, la capacité d’épandage journalière du drone est de l’ordre de 100 à 200 hectares. Photo : Biotop
Alternative à la pose manuelle dans les parcelles, l’épandage aérien de trichogrammes se développe en France. Après l’hélicoptère, deux nouvelles options s’offrent dorénavant à l’agriculteur : l’épandage par ULM et par drone.

Pour l’application au champ des trichogrammes, la solution la plus souvent privilégiée reste la pose manuelle de miniplaques, permettant de traiter environ 3 à 4 hectares par heure. En 2013, l’arrivée sur le marché de capsules en cellulose contenant jusqu’à 2500 œufs de trichogrammes a toutefois permis d’envisager un nouveau mode de diffusion : l’épandage aérien. De Sangosse a ainsi lancé une offre d’épandage de trichogrammes par hélicoptère, en partenariat avec une société prestataire. « La diffusion par hélicoptère permet d’augmenter significativement les débits de chantiers, jusqu’à 700 à 800 hectares par jour : un atout pour développer l’utilisation de trichogrammes sur grandes parcelles, intervenir au début du vol de la pyrale et assurer une protection optimale », indique Frédéric Pagès, responsable insecticide chez De Sangosse. 10000 hectares de maïs pop-corn et maïs conventionnel ont été couverts de cette manière…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Fournisseurs

Boutique
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15