Trichogrammes : un potentiel important en vigne

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Les responsables de Bioline AgroSciences, avec, de gauche à droite, Sébastien Rousselle, Philippe Hamelin et Ludwik Pokorny, ont présenté leurs objectifs de développement en maïs, vigne et blé. Photo : S.Bot/Pixel image
85000 hectares traités, c’est la surface de maïs qui reçoit des trichogrammes de Bioline AgroSciences. L’entreprise se lance sur le créneau de la vigne avec Tricholine Vitis. Les dirigeants espèrent développer ce marché pour lequel l’épandage de trichogrammes est une nouveauté.

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« Sur 3 millions d’hectares de maïs en France, la moitié est atteinte par la pyrale, évoque Philippe Hamelin, directeur du pôle semences et biosolutions chez InVivo Agriculture. 500000 hectares sont traités en végétation, dont 120000 avec des trichogrammes. »


Bioline AgroSciences est présent sur 85000 hectares avec Trichotop Max.

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« D’ici quatre à cinq ans, nous espérons atteindre 500000 hectares de maïs en Europe », confie Ludwik Pokorny, directeur de Bioline AgroSciences.


Les trichogrammes sont généralement utilisés pour le maïs grain. Or, une étude est actuellement menée par Bioline AgroSciences et des coopératives partenaires sur les conséquences de la pyrale du maïs en élevage laitier.

Exergue n°434860
« Nous avons la conviction qu’il y a des contre-performances liées au développement des mycotoxines dans le maïs ensilage », ajoute Philippe…
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