« Veiller à ce que le pragmatisme l’emporte sur le dogmatisme »

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Bernard Ader : « En anticipant, on peut mieux accompagner chacun de nos agriculteurs pour faire de cette PAC un atout pour la pérennité et le développement de son exploitation. » Photo : Euralis
Vice-président d’Euralis, Bernard Ader est aussi président de la commission Europe de La Coopération agricole et vice-président de la Cogeca. Il revient sur la manière dont ces instances ont su peser, en France et en Europe, dans les négociations de la nouvelle PAC. Il nous propose également son regard sur cette PAC et sur la façon dont Euralis entend accompagner ses adhérents pour se l’approprier.

La Coopération agricole (LCA), dont vous présidez la commission Europe, a joué un rôle essentiel dans les discussions autour de la nouvelle PAC. Pouvez-vous nous dire de quelle manière la structure s’est-elle emparée de ce dossier et quels ont été les points auxquels vous avez été vigilants ?

Bernard Ader : LCA a mené un important travail de recueil des attentes du terrain, un travail facilité par sa structuration par métier et par région. Nous avons également eu de nombreuses concertations avec l’ensemble des acteurs du monde agricole (des syndicats, des économistes, des chercheurs…) pour essayer d’avoir la vision la plus globale possible sur les conséquences d’un changement de PAC.

Cela nous a permis d’identifier les lignes majeures à défendre, parmi lesquelles on peut citer le…
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