L’acquisition de 2018 pour la modique somme de 7,6 milliards d’euros a quelque peu modifié la stratégie de BASF avec l’arrivée, notamment, d’un pôle semence dans son giron. Nicolas Kerfant, directeur général de BASF France Agro, estime que « nous ne pouvons plus, dans le contexte concurrentiel actuel, ne pas disposer de cette carte pour proposer des solutions techniques globales à l’agriculture ». Les équipes de R&D de BASF se concentrent, dans un premier temps, sur le blé hybride afin d’apporter des solutions techniques intéressantes d’ici 2030 et, au mieux, dans cinq ans. Si le rendement et la qualité technologique des grains sont des axes de recherche indispensables, la tolérance/résistance aux bioagresseurs est également importante…
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