Entre bien-être animal et risque pour le consommateur

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Selon Gilles Salvat, les aspects de bien-être animal et de la désintensification de l’élevage posent la question du consentement à payer pour des méthodes de production différentes. Photo : Anses
À l’occasion du Salon international de l’Agriculture, l’Anses a organisé, le 25 février, un point presse dédié aux enjeux d’aujourd’hui et de demain pour une alimentation sûre et saine. Parmi les sujets abordés, celui des attentes sociétales sur le bien-être des animaux d’élevage. L’évolution des pratiques d’élevage en faveur des animaux conduit, en parallèle, à de nouveaux risques qui peuvent impacter l’alimentation humaine.

Exergue n°430126
« Les aspects de bien-être animal et de la désintensification de l’élevage posent la question du consentement à payer pour des méthodes de production différentes, pointe Gilles Salvat, directeur général délégué au pôle recherche et référence de l'Anses. On pense souvent que le fait d’élever des animaux en liberté fait que ceux-ci sont en meilleure santé. En effet, des animaux élevés plus longtemps, dotés d’un système immunitaire et d’une flore intestinale mature se défendent mieux contre les maladies. Par exemple, les poulets labels sont plus résistants aux salmonelles mais plus exposés aux Campylobacter, fréquemment rencontrées chez les oiseaux, du fait de leur vie en extérieur. Il faut donc trouver le bon compromis et le bon équilibre…
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