Exergue n°438644
« C’est le retrait des molécules (néonicotinoïdes en 2018, et thirame en 2019) qui nous amène à intensifier nos travaux sur ces nouvelles solutions, que nous étudions depuis plusieurs années et de manière plus large sur l’ensemble des cultures. Pour autant, il est fort probable que l’agriculture soit, dans certains cas, sans réponse, et qu’elle n’ait bientôt plus de solutions pour cultiver certaines cultures », analyse Mickaël Pourcelot.
Si les biosolutions ont comme objectif premier de protéger les semences, les observations d’Agrosolutions ne s’arrêtent pas là.
Exergue n°438645
« Dans un contexte d’événements climatiques de plus en plus imprévisibles, nous évaluons les effets des biosolutions sur les plantes », affirme le consultant.
Cet axe de recherche part d’un constat établi par les référents techniques des coopératives du pôle partenaires agrofourniture. Selon eux, le progrès génétique apporté par les semenciers n’est plus capté à sa juste…
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