Il nous faut rappeler, en premier lieu, que la bruche est devenue un cauchemar pour les producteurs de féveroles. Car elle rend impropre à la consommation humaine les graines de féverole. Dépourvu de méthode de lutte efficace, le marché à l’export de la féverole s’est effondré en quelques années. Mais possible que la culture, très riche en protéines, retrouve de sa splendeur grâce à de nouvelles solutions de biocontrôle, notamment celle développée par Agriodor. « Nous remplaçons les insecticides par des attractifs à base de kairomones qui peuvent piéger jusqu’à 6000 bruches/ha/semaine », résume Alain Thibault, président de Agriodor.
« Agriodor a été créée au début de l’année 2019 par Ené Leppik, PhD, elle est le fruit de la recherche fondamentale et appliquée de l’Inrae, Terres Inovia et Arvalis institut du végétal sur le développement…
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