Place du biocontrôle dans la séparation vente/conseil

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Selon Olivier Ruck, de la DGAL, plus de 60 000 exploitations sont exonérées du conseil stratégique de par l’utilisation exclusive de produits de biocontrôle.
Les distributeurs peuvent promouvoir les produits de biocontrôle par le biais des fiches actions. Cependant, ils ne peuvent pas inciter à l’achat du produit conventionnel qui, associé au biocontrôle, renforce l’efficacité. C’est Olivier Ruck, de la DGAL, qui a précisé ce point lors des 7es rencontres annuelles du biocontrôle qui se sont déroulées ce 26 janvier.

Le biocontrôle face à la séparation du conseil et de la vente phyto a fait l’objet d’une table ronde lors des 7es rencontres annuelles du biocontrôle, événement organisé par IBMA France, qui a rassemblé en ligne près de 700 personnes.

Exergue n°430990
« Les entreprises qui font la distribution ont la possibilité de continuer à promouvoir les actions CEPP, qui pour la majorité concernent les produits de biocontrôle », souligne Olivier Ruck, chargé du dossier séparation vente et conseil à la DGAL.


À la question « les entreprises qui ont choisi la vente, pour promouvoir les solutions CEPP le plus efficacement possible, peuvent-elles promouvoir les mélanges de produits de biocontrôle et de produits phyto de synthèse ? », Olivier Ruck répond :

Exergue n°430991
« L’ordonnance précise que les distributeurs…
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