Et Thierry Blandinières d’alerter : « Pour la première année, on est sorti du marché international, et personne ne le voit. L’univers concurrentiel avait déjà changé, avec la Russie et l’Ukraine qui sont déjà positionnés pour nous concurrencer. Le manque à gagner sera de la moitié de notre activité, soit un milliard d’euros. Espérons un tiers. Tout cela nous amène à accélérer notre business, notamment à Singapour et Sao Paulo. »
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