Exergue n°437326
L'ambiance en agriculture est assez morose : la dernière récolte céréalière a été moyenne, notamment en qualité. On sent les agriculteurs pressés par les contraintes… Malgré cela, InVivo se porte plutôt bien, l'activité agrofourniture mais surtout l'activité trading, avec la nouvelle politique de gestion des risques mise en place depuis cette campagne.
Pouvez-vous nous présenter rapidement la branche agricole dont vous êtes le nouveau directeur ?
Exergue n°437327
C'est une division qui pèse 1,7 milliard de chiffre d'affaires et qui regroupe sept activités :
les semences (Semences de France);
les produits phytosanitaires post brevet, activité que nous venons de créer avec le rachat de Life Scientific;
le biocontrôle et les auxiliaires (Biotop);
le service technique (InVivo agrosolutions);
la centrale d'achats (InVivo agrofourniture);
le big data (Ma ferme-Neotic, CISMO);
et la logistique, avec les silos portuaires et fluviaux.
Nous sommes en cours de filialisation de toutes ces activités : au 1er juillet 2015, chacune fonctionnera en filiale.
Comment vous positionnez-vous par rapport aux grandes centrales d'achat régionales…
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